Petit à petit, on prend l'habitude de se sentir perdus à chaque nouvelle arrivée, c'est un dénominateur commun qui paradoxalement devient notre repère. Tout cela pour dire qu'avant même dy poser les pieds, La Paz nous donnait une sensation d'étouffement...
La ville est difficilement définissable. Paysage parasité par l'empilement de maisons, de loin, elle s'apparente à une favela immense perchée à 3600 mètres d'altitude avec un plafond grisâtre et des pieds sales... il est vrai que c'est peu vendeur. Pourtant, nous aurons pris du plaisir à nous perdre dans les rues et observer la vie fourmillante qui s'y déroule, constater l'agitation matinale des gens courant pour se rendre au travail, gouter aux petits sandwichs du marché -faute d'avoir le courage de commander autre chose et de se voir servir une énième soupe douteuse aux pattes de poulet-, flâner dans les boutiques aux tissus multicolores, manger des bons enchiladas à "La Cueva" (resto mexicain à la déco bien funky), et passer du temps au mirador pour s'apercevoir qu'à La Paz plus qu'ailleurs, nous sommes vraiment petits...
Découverte en image à accompagner d'un "La Juana" de Grupo Canalon de Timbiqui
Petit restaurant du midi au marché central |
Merci beaucoup pour les superbes photos et les histoires qui les accompagnent.
RépondreSupprimerJ'ai l'impression de voyager avec vous :)
Bon voyage à vous deux.
Merci Marina.
SupprimerContents que cela te dépayse!
Oh les jolis tissus!!! ;-)
RépondreSupprimerGros bisous bordelais les loulous, on pense souvent à vous!
Ahhh! On se doutait que ça te plairait.
SupprimerAu Pérou comme en Bolivie, les tissus étaient bien funky.
Gros bisous à vous aussi.